- Sons Optiques-1978-1980
1978« SONS OPTIQUES»paru chez Barclay/Egg et réédité chez MuséaVacances à Concarneau(violon solo: Didier lockwood) De retour à ParisJean-Baptiste Mondino, signait là sa première pochette de disque en tant que photographe. Il m’avait emmené sur les planches de Deauville à 5 heures du matin en plein hiver. Souvenir de glagla intense. Mon nez rouge en témoigne.
Une musique écrite comme pour un grand orchestre mais dont les timbres étaient fournis par un unique synthétiseur monophonique, sans mémoire de son (l’ARP Odissey) et un piano. Toutes les composantes des sections orchestrales furent donc programmées, jouées et enregistrées couche après couche ! Au (long) cours des rencontres , je ne pu résister à l’envie d’ incorporer des amis instrumentistes au projet qui s’enrichit de timbres hétérogènes. François Bréant : piano, Arp Odissey, chœursDidier Lockwood : violonJean-Louis Chautemps : ténor saxPascal Arroyo ,Guy Delacroix : basseEric Letourneux : alto saxMarc Perru : guitareEmmanuel Lacordaire : percussions, batterieAlbert Marcoeur : cymbales, timbales
L’idée était de générer des images dans la tête de l’auditeur en s’amusant avec les codes et les conventions de la musique de film. Faire de la musique à voir…
Je ne leur ai pas fait dire de force : - « Ce musicien français nous délivre là une œuvre majeure, ce disque est beaucoup trop court. » J.M.Patrat. ROCK HEBDO 1980 Ca vaut mieux que l’inverse… - «…Une perle rare, un chef d’œuvre des années 70, le disque français presque parfait que nous attendions depuis si longtemps… »Jean-Marc Bailleux ROCK & FOLK - 07/1978 ma tête enfle, je bouche mes oreilles, comment vais-je contenir mon ego ? - « a fluid, lyrical, jazz rock ,worth bugging your local record store importer. » Robert Payes TROUSER PRESS Yes, man, keep on bugging him… - « Breant showed himself as a very gifted composer. Sons Optiques is an outstanding original album which can’t be compared to anything existing under the sun of progressive Rock. » V.M. PROGRESSOR 08/2002 et puis pour contredire cette suite dithyrambique une critique négative que j’ai trouvé particulièrement amusante : - « This irritating music evokes images of a gasoline-covered cat playing with matches… » Jim Brenholts EER_MUSIC Me voici redescendu de ma montagne d’orgueil
- 1979 :« VOYEUR EXTRA-LUCIDE »paru chez Barclay/Egg et réédité chez Muséa
L'amour au grand air
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